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Titre : Le poids des mots Type de document : texte imprimé Auteurs : José Gérard, Auteur Editeur : José Gérard Collection : Feuilles Familiales num. Dossier n° 123 Importance : 93 p. Présentation : couv. coul, Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-930280-60-8 Langues : Français (fre) Catégories : Psychologie Mots-clés : Famille école couple mots psychologie messages Index. décimale : 20.02 psychologie sociale Résumé : « Ça va, petit zizi ? », « Attention, il y a un os à l’intérieur de ta banane ! », « Ma fille a mauvais caractère », « Mon fils, il est plutôt sportif mais pas très scolaire », « Jérôme est fort en math : il comprend avant qu’on ne lui explique », « T’es blonde, évidemment », « Courage, l’échec approche », « Je suis fier de toi », « Je t’aime » ; l’on pourrait bien sûr continuer, mais la liste est interminable tant les exemples de mots du quotidien susceptibles de peser abondent. Que leur poids soit fait de louanges ou de remontrances… pas toujours volontaires.
Au niveau de la cellule familiale, à l’école ou encore dans le couple, il importe d’accorder une attention particulière aux mots que nous choisissons pour exprimer ce que nous voulons dire. Il en va de l’harmonie de nos relations et de notre bien-être. Combien de psychothérapeutes n’ont-ils pas eu à décortiquer les mots du passé pour comprendre un état présent et améliorer une condition future ? Et ce, à l’aide de mots, quelle ironie… car oui, quel meilleur remède que les mots pour panser les dégâts entrainés par des paroles amères ?
Mais les mots ne se limitent pas à ces sphères particulièrement restreintes : ils sont littéralement partout. De la publicité à la presse en passant par les discours politiques, certains mots peuvent être destinés à des millions de personnes. Ainsi, les discours de Barack Obama ou de Donald Trump ont probablement été entendus par la planète entière, ou presque.
Tous les détenteurs de pouvoir sont des délivreurs de messages qui excellent dans l’art de choisir leurs mots. À nous, citoyens, d’apprendre à lire entre les lignes. L’esprit critique. Il n’y a pas de bouclier plus efficace contre les mots du pouvoir. Bref, au travers de cette étude foisonne une multitude de cas où entre en jeu le pouvoir, salvateur ou assassin, des mots. Nous les manions chaque jour, assurons-nous donc d’en faire bon usage.En ligne : http://www.couplesfamilles.be/index.php?option=com_content&view=article&id=487:l [...] Le poids des mots [texte imprimé] / José Gérard, Auteur . - José Gérard, [s.d.] . - 93 p. : couv. coul, ; 24 cm. - (Feuilles Familiales; Dossier n° 123) .
ISBN : 978-2-930280-60-8
Langues : Français (fre)
Catégories : Psychologie Mots-clés : Famille école couple mots psychologie messages Index. décimale : 20.02 psychologie sociale Résumé : « Ça va, petit zizi ? », « Attention, il y a un os à l’intérieur de ta banane ! », « Ma fille a mauvais caractère », « Mon fils, il est plutôt sportif mais pas très scolaire », « Jérôme est fort en math : il comprend avant qu’on ne lui explique », « T’es blonde, évidemment », « Courage, l’échec approche », « Je suis fier de toi », « Je t’aime » ; l’on pourrait bien sûr continuer, mais la liste est interminable tant les exemples de mots du quotidien susceptibles de peser abondent. Que leur poids soit fait de louanges ou de remontrances… pas toujours volontaires.
Au niveau de la cellule familiale, à l’école ou encore dans le couple, il importe d’accorder une attention particulière aux mots que nous choisissons pour exprimer ce que nous voulons dire. Il en va de l’harmonie de nos relations et de notre bien-être. Combien de psychothérapeutes n’ont-ils pas eu à décortiquer les mots du passé pour comprendre un état présent et améliorer une condition future ? Et ce, à l’aide de mots, quelle ironie… car oui, quel meilleur remède que les mots pour panser les dégâts entrainés par des paroles amères ?
Mais les mots ne se limitent pas à ces sphères particulièrement restreintes : ils sont littéralement partout. De la publicité à la presse en passant par les discours politiques, certains mots peuvent être destinés à des millions de personnes. Ainsi, les discours de Barack Obama ou de Donald Trump ont probablement été entendus par la planète entière, ou presque.
Tous les détenteurs de pouvoir sont des délivreurs de messages qui excellent dans l’art de choisir leurs mots. À nous, citoyens, d’apprendre à lire entre les lignes. L’esprit critique. Il n’y a pas de bouclier plus efficace contre les mots du pouvoir. Bref, au travers de cette étude foisonne une multitude de cas où entre en jeu le pouvoir, salvateur ou assassin, des mots. Nous les manions chaque jour, assurons-nous donc d’en faire bon usage.En ligne : http://www.couplesfamilles.be/index.php?option=com_content&view=article&id=487:l [...] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité R-01417 20.02 GER Livre Bibliothèque principale Documentaires Disponible
Titre : Se réappropirer la mort : Dossier NFF n°122 Type de document : texte imprimé Auteurs : José Gérard, Auteur Mention d'édition : Trimestriel Editeur : José Gérard Année de publication : 4ème Trimestre 2017 Importance : (93 p.) Présentation : Couv., coul., ill., carton. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : EAN 9 782930 280592 Langues : Français (fre) Catégories : Psychologie Mots-clés : Mort
Contexte
Législatif
Quotidien
Fin de vieIndex. décimale : 20.03 Identité et construction de soi Résumé : Le paysage autour de la mort ou des fins de vie a changé. On vit de plus en plus vieux, mais parfois dans la confusion et la dépendance. L’euthanasie est entrée dans les mÅ“urs et les soins palliatifs se sont développés, offrant aux patients qui ne peuvent plus être guéris une fin de vie plus confortable et chaleureuse. Les rituels aussi ont évolué et l’incinération prend de plus en plus d’importance face à l’inhumation. Cela permet-il une humanisation plus grande de cette dernière étape du parcours humain ou cela provoque-t-il au contraire une sorte de négation de la mort ?
Cela dépend sans doute de la manière dont chacun se situe face à la mort. Certains la préparent minutieusement, règlent les questions de succession pour en décharger les proches et parfois pour effectuer un dernier geste altruiste. Certains écrivent leur récit de vie pour laisser une trace à leurs descendants. Certains choisissent de réunir une dernière fois leurs familiers autour d’eux avant l’injection létale. Les chemins sont diversifiés.
Les enjeux éthiques autour des fins de vie sont importants et chacun doit pouvoir se positionner en toute conscience. C’est pourquoi cette étude propose des approches variées de la mort aujourd’hui, des opinions parfois divergentes, mais toujours soucieuses de favoriser une plus grande humanité. Elle propose aussi des pistes concrètes afin de vivre le plus humainement possible cette ultime étape de l’aventure humaine.En ligne : www.couplesfamilles.be Se réappropirer la mort : Dossier NFF n°122 [texte imprimé] / José Gérard, Auteur . - Trimestriel . - José Gérard, 4ème Trimestre 2017 . - (93 p.) : Couv., coul., ill., carton. ; 24 cm.
ISSN : EAN 9 782930 280592
Langues : Français (fre)
Catégories : Psychologie Mots-clés : Mort
Contexte
Législatif
Quotidien
Fin de vieIndex. décimale : 20.03 Identité et construction de soi Résumé : Le paysage autour de la mort ou des fins de vie a changé. On vit de plus en plus vieux, mais parfois dans la confusion et la dépendance. L’euthanasie est entrée dans les mÅ“urs et les soins palliatifs se sont développés, offrant aux patients qui ne peuvent plus être guéris une fin de vie plus confortable et chaleureuse. Les rituels aussi ont évolué et l’incinération prend de plus en plus d’importance face à l’inhumation. Cela permet-il une humanisation plus grande de cette dernière étape du parcours humain ou cela provoque-t-il au contraire une sorte de négation de la mort ?
Cela dépend sans doute de la manière dont chacun se situe face à la mort. Certains la préparent minutieusement, règlent les questions de succession pour en décharger les proches et parfois pour effectuer un dernier geste altruiste. Certains écrivent leur récit de vie pour laisser une trace à leurs descendants. Certains choisissent de réunir une dernière fois leurs familiers autour d’eux avant l’injection létale. Les chemins sont diversifiés.
Les enjeux éthiques autour des fins de vie sont importants et chacun doit pouvoir se positionner en toute conscience. C’est pourquoi cette étude propose des approches variées de la mort aujourd’hui, des opinions parfois divergentes, mais toujours soucieuses de favoriser une plus grande humanité. Elle propose aussi des pistes concrètes afin de vivre le plus humainement possible cette ultime étape de l’aventure humaine.En ligne : www.couplesfamilles.be Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité R-01409 20.03 GER Livre Bibliothèque principale Documentaires Disponible
Titre : Vivre dans l'insécurité : Dossier NFF n° 121 Type de document : texte imprimé Auteurs : José Gérard, Auteur Mention d'édition : Trimestriel Editeur : José Gérard Année de publication : 3ème trimestre 2017 Collection : Feuilles Familiales Importance : (95 p.) 1 vol. Présentation : Couv. coul., ill., cart. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : EAN 9 782930 280585 Langues : Français (fre) Catégories : Citoyenneté et société Mots-clés : Société
Sécurité
Risque zéro
Analyses
PolitiquesIndex. décimale : 22 Citoyenneté et société Résumé : La menace terroriste va-t-elle se poursuivre et installer pour longtemps un climat d’insécurité ? Faut-il parler des attentats aux enfants et de quelle manière ? Comment se prémunir d’une angoisse généralisée ? Et la menace écologique ? Les risques de guerre ? La « crise » migratoire ? Allons-nous être confrontés à des risques de plus en plus importants ?
Notre planète paraît confrontée à une insécurité grandissante. Pourtant, il s’agit surtout d’un sentiment qui se nourrit d’images chocs et que certains discours politiques n’hésitent pas à utiliser pour provoquer l’adhésion à leurs idées. Cette étude analyse les réalités actuelles. Elle donne la parole à des spécialistes qui déconstruisent les évidences et invitent à prendre distance vis-à -vis de ce climat anxiogène. Elle rappelle que la sécurité est d’abord sociale, qu’elle se construit sur les réseaux de relations dans lesquels on est inséré. Elle invite aussi à se construire une sécurité intérieure pour affronter les événements.
Cette étude propose aussi des pistes concrètes pour répondre à certains risques d’aujourd’hui. L’attention à l’aménagement urbain peut réduire la crainte d’une agression. La délimitation des espaces dans une cour de récréation apaise les tensions. Et la réflexion permet de se détacher des émotions qui submergent les individus. Pour que le slogan « il faut continuer à vivre » s’incarne dans les faits. Vivre dans l’insécurité, c’est surtout vivre !En ligne : www.couplesfamilles.be Vivre dans l'insécurité : Dossier NFF n° 121 [texte imprimé] / José Gérard, Auteur . - Trimestriel . - José Gérard, 3ème trimestre 2017 . - (95 p.) 1 vol. : Couv. coul., ill., cart. ; 24 cm. - (Feuilles Familiales) .
ISSN : EAN 9 782930 280585
Langues : Français (fre)
Catégories : Citoyenneté et société Mots-clés : Société
Sécurité
Risque zéro
Analyses
PolitiquesIndex. décimale : 22 Citoyenneté et société Résumé : La menace terroriste va-t-elle se poursuivre et installer pour longtemps un climat d’insécurité ? Faut-il parler des attentats aux enfants et de quelle manière ? Comment se prémunir d’une angoisse généralisée ? Et la menace écologique ? Les risques de guerre ? La « crise » migratoire ? Allons-nous être confrontés à des risques de plus en plus importants ?
Notre planète paraît confrontée à une insécurité grandissante. Pourtant, il s’agit surtout d’un sentiment qui se nourrit d’images chocs et que certains discours politiques n’hésitent pas à utiliser pour provoquer l’adhésion à leurs idées. Cette étude analyse les réalités actuelles. Elle donne la parole à des spécialistes qui déconstruisent les évidences et invitent à prendre distance vis-à -vis de ce climat anxiogène. Elle rappelle que la sécurité est d’abord sociale, qu’elle se construit sur les réseaux de relations dans lesquels on est inséré. Elle invite aussi à se construire une sécurité intérieure pour affronter les événements.
Cette étude propose aussi des pistes concrètes pour répondre à certains risques d’aujourd’hui. L’attention à l’aménagement urbain peut réduire la crainte d’une agression. La délimitation des espaces dans une cour de récréation apaise les tensions. Et la réflexion permet de se détacher des émotions qui submergent les individus. Pour que le slogan « il faut continuer à vivre » s’incarne dans les faits. Vivre dans l’insécurité, c’est surtout vivre !En ligne : www.couplesfamilles.be Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité R-01408 22 GER Livre Bibliothèque principale Documentaires Disponible